Tout geste chirurgical et plus largement toute thérapeutique mise en œuvre, ne peut l’être qu’après avoir recueilli le consentement éclairé du patient.
Un interrogatoire médical est un préalable indispensable.
Un suivi doit être proposé
Intubation naso-trachéale après mise en place du laryngoscope
Elle est préférée dans la spécialité à l’intubation buccale pour d’évidentes raisons de commodité d’accès à la cavité orale lors de l’acte chirurgical.
Elle est le fait du médecin anesthésiste réanimateur, elle fait suite à l’induction (patient rendu inconscient par injection intraveineuse), et précède la phase d’entretien (de l’anesthésie) et de réveil.
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Date de dernière mise à jour : 28 avril 2020